“La conversation débouche inévitablement sur la corruption, véritable fléau du siècle. Maar retrouve alors ses talents de pédagogue pour démontrer, chiffres à l’appui, que tout argent gaspillé, volé par des cols blancs ou dilapidé par incompétence pouvait satisfaire les besoins du continent en santé et éducation.
“C’est par la maîtrise de ces secteurs que nous serons forts, inventifs, dignes parce que capables de prendre notre destin en mains”. Voilà 40 ans que Maar répète cette conviction”.
Lors de longues conversations avec Fara, son ami d’enfance, devenu Imam, le vieil homme prolonge ses réflexions sur la société qui l’entoure, prenant exemple sur le devenir des siens.”
(Source: http://www.canalblog.com)
Résumé
Chroniques d’une famille et d’une cour, Festins de la détresse, nous plongent au coeur de vies en proie aux absurdités que provoquent les changements économiques et sociaux, trop rapides pour le temps d’une vie humaine.
Puisant dans la mémoire complexe du chant africain, Aminata Sow Fall veut “changer la croyance selon laquelle la nourriture et les biens matériels sont seuls nécessaires à la survie, et mettre en évidence l’importance de la créativité et des besoins spirituels. Ils sont même plus importants que les biens matériels, qui ne suffisent pas à fonder la dignité d’un être humain”. (Source: http://www.chapitre.com)
Paru aux éditions L’or des fous le 27 avril 2005. (ISBN: 9782915995039)
Autres éditions: Sankofa et Gurli (Burkina Faso), Presses Universitaires d’Afrique (Cameroun), Ruisseaux d’Afrique (Bénin), Tarik Éditions (Maroc), Editions CAEC-Khoudia (Sénégal), Editions Jamana (Mali), Editions Eburnie (Côte d’Ivoire). (2005)